C'est au Rioumajou que notre joyeuse équipe a posé le premier pied pour un pique-nique bien copieux ou Maria nous a encore gâté. Après le déjeuner, une randonnée de 10kms nous attendait pour monter a l'hospice avant de prendre possession vers 18 de nos chambres a la résidence le Néouvielle fondation Jean Moulin à St Lary Soulan (hautes Pyrénées) ou nous attendait un accueil chaleureux et de très bons repas

Prêt pour le départ

Avant la randonnée du jour, quelques gourmandises que nous a préparé Maria



on se lève tous pour...Danette...!!!



C'est pas vrai...on monte dès le premier jour...








N'ai crainte je suis là...




Tienou....ça monte!!!





passage délicat dans l'eau




L'hospice du Rioumajou

Espace bivouac

Alors? c'est qui le plus beau???

Ce rocher n'est finalement pas très lourd







La résidence

Extérieur

Salle de restaurant

le plus important...coté bar

Accueil

Coin petit déjeuner

Couloir qui mène aux chambres

Chambre double


un peu d'histoire
L'hospice du Rioumajou est placé sur la voie de la Ténarèze qui est une voie traditionnelle du Sud-Ouest de la France et un chemin de transhumance. Cette route permettait de circuler sans franchir ni pont ni gué, est de longue date un point de franchissement de la chaîne pyrénéenne.
Les voyageurs traversaient les cols pour y faire du commerce ou de la contrebande. C'est par là que passaient également les paysans de la vallée qui allaient vendre leur travail, le toponyme de la Plagne du Marcadau, (en occitan, « le plateau du marché ») au-dessus de l'hospice, souligne bien les nombreux échanges. Enfin, ce fut le lieu de passage des soldats, de négociants et de pèlerins.
Les seigneurs locaux, que ces échanges avec l'Espagne favorisaient, avaient le devoir de maintenir en état les hospices. Dans la vallée d'Aure en plus de l'hospice du Rioumajou on a pu répertorier plusieurs hôpitaux qui ont été fondés par les Chevaliers-Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem (chapelle Notre-Dame-du-Bouchet de Guchen, chapelle Saint-Pierre d'Agos à Vielle-Aure, chapelle des Templiers d’Aragnouet).
On trouve trace pour la première fois de l'hospice du Rioumajou dans un document du 27 avril 1457. En ruines, il a été rebâti par le comte Jean V d'Armagnac.
Les hospices et hôpitaux avaient un même but : au pied des cols, ils constituaient des abris pour le voyageur, apportant une aide matérielle, gîte et couvert, d’une aide spirituelle tenus par des membres du clergé. Les hospices accueillaient pour la nuit et donnaient des soins aux malades et aux blessés.
Plus anciens que les hôpitaux, les hospices ont été les premiers refuges servant aux voyageurs qui se rendaient de l’autre côté des cols[3].
Caractéristiques et informations
Il est situé au cœur d'une zone naturelle protégée, classée ZNIEFF de type 1 : Haute vallée d'Aure en rive droite, de Barroude au col d'Azet[4] et en zone Natura 2000 en site classé.
Le refuge est ouvert de mi-juin à fin septembre en continu, mais la route d’accès est fermée à la circulation en hiver.
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